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jeudi 6 avril 2023

9 erreurs courantes à éviter dans l'architecture Spring Boot et microservices

Problèmes à ne pas faire dans une architecture Spring Boot et microservices




L'architecture Spring Boot et les microservices sont devenus une tendance populaire dans le développement de logiciels modernes. Cependant, il y a certaines erreurs courantes que les développeurs peuvent commettre lors de la mise en place de cette architecture. Dans cet article, nous allons discuter des problèmes à ne pas faire dans une architecture Spring Boot et microservices.

  1. Concevoir des microservices qui sont trop petits
  2. Lors de la conception de microservices, il est important de ne pas diviser le système en services trop petits. Cela peut entraîner une complexité accrue et des coûts de communication plus élevés entre les services, car chaque service doit communiquer avec de nombreux autres services. Au lieu de cela, chaque microservice doit avoir une responsabilité claire et définie, et être suffisamment grand pour s'occuper de toutes les tâches liées à cette responsabilité.

  3. Utiliser une architecture à trois niveaux
  4. L'utilisation d'une architecture à trois niveaux dans les microservices peut entraîner des problèmes de performance et de communication entre les services. Au lieu de cela, il est préférable d'utiliser une architecture basée sur des événements ou des flux de données, qui permettent une communication asynchrone et une évolutivité plus facile.

  5. Abuser des appels HTTP synchrones
  6. L'utilisation excessive des appels HTTP synchrones peut ralentir les performances des microservices et entraîner des problèmes de latence. Au lieu de cela, il est recommandé d'utiliser des appels HTTP asynchrones ou des messages asynchrones pour améliorer la performance.

  7. Ne pas utiliser un registre de services
  8. Un registre de services est un composant essentiel d'une architecture de microservices. Il permet aux services de découvrir les autres services du système et de communiquer avec eux de manière transparente. Ne pas utiliser un registre de services peut entraîner des problèmes de communication entre les services et des erreurs de configuration.

  9. Ne pas tester suffisamment les microservices
  10. Il est important de tester chaque microservice de manière exhaustive avant de le déployer en production. Ne pas tester suffisamment les microservices peut entraîner des erreurs et des défaillances dans le système, ce qui peut avoir des conséquences graves sur l'ensemble du système.

  11. Ne pas avoir une organisation des logs adéquate
  12. Les logs sont un élément clé de la surveillance et du débogage des microservices. Il est donc important d'avoir une organisation des logs claire et efficace pour faciliter la recherche des problèmes. Les logs doivent être structurés et normalisés pour faciliter la recherche, la corrélation et l'analyse des informations.

  13. Ne pas avoir de stratégie de recherche de problèmes
  14. La recherche de problèmes est un processus complexe et fastidieux, et sans une stratégie claire, il peut être difficile de localiser rapidement les problèmes. Il est donc important d'avoir une stratégie de recherche de problèmes claire qui permet de localiser rapidement les problèmes et d'identifier leur cause racine. Cette stratégie peut inclure l'utilisation d'outils de surveillance, de suivi des performances et de débogage.

  15. Ne pas suivre les meilleures pratiques de journalisation
  16. La journalisation est une partie importante de l'organisation des logs et de la recherche de problèmes. Les développeurs doivent suivre les meilleures pratiques de journalisation, telles que l'utilisation de niveaux de journalisation appropriés, la journalisation d'informations pertinentes pour chaque microservice et la journalisation des erreurs et des exceptions.

  17. Ne pas utiliser d'outils de surveillance et de débogage
  18. Les outils de surveillance et de débogage sont essentiels pour la recherche de problèmes dans une architecture Spring Boot et microservices. Les développeurs doivent utiliser des outils tels que les tableaux de bord de surveillance, les outils de suivi des performances et les outils de débogage pour identifier rapidement les problèmes et les résoudre.

Des outils concrets pour chaque règle dans une architecture Spring Boot et microservices

Voici quelques exemples d'outils concrets que vous pouvez utiliser pour respecter les règles que j'ai mentionnées dans mon article précédent :

  1. Concevoir des microservices qui sont suffisamment grands

    Pour vous assurer que chaque microservice a une responsabilité claire et définie, vous pouvez utiliser des outils de modélisation de domaine tels que le Domain-Driven Design (DDD). Le DDD vous aide à découper votre système en domaines spécifiques, ce qui peut faciliter la définition des responsabilités de chaque microservice.

  2. Utiliser une architecture basée sur des événements ou des flux de données

    Pour implémenter une architecture basée sur des événements ou des flux de données, vous pouvez utiliser des outils tels que Apache Kafka ou RabbitMQ. Ces outils sont conçus pour gérer la communication asynchrone entre les services.

  3. Utiliser des appels HTTP asynchrones ou des messages asynchrones

    Pour implémenter des appels HTTP asynchrones ou des messages asynchrones, vous pouvez utiliser des frameworks de messagerie tels que Spring Cloud Stream. Spring Cloud Stream est un framework qui facilite la création de pipelines de traitement de messages asynchrones entre les microservices.

  4. Utiliser un registre de services

    Pour mettre en place un registre de services, vous pouvez utiliser des outils tels que Consul ou Etcd. Ces outils vous permettent de découvrir les services disponibles dans votre système et de gérer les connexions entre eux.

  5. Tester chaque microservice de manière exhaustive

    Pour tester chaque microservice de manière exhaustive, vous pouvez utiliser des outils de test tels que JUnit ou Mockito. Ces outils vous permettent de créer des tests automatisés pour chaque microservice, ce qui vous permet de détecter les erreurs et les défaillances dans le système avant de le déployer en production.

  6. Organisation des logs :
    • ELK Stack (Elasticsearch, Logstash, Kibana) : une suite d'outils open-source qui permet de collecter, de centraliser, d'analyser et de visualiser les logs.
    • Splunk : un outil de gestion de données qui permet de collecter et d'analyser les logs en temps réel.
    • Graylog : une plateforme de gestion de logs open-source qui permet de collecter, d'analyser et de stocker les logs.
  7. Stratégie de recherche de problèmes :
    • Zipkin : un outil open-source de suivi de la performance des microservices, qui permet de visualiser et de suivre les demandes traversant plusieurs microservices.
    • Jaeger : un autre outil open-source de suivi de la performance des microservices, qui permet également de suivre les demandes traversant plusieurs microservices.
    • Prometheus : un outil open-source de surveillance de la performance qui permet de surveiller et d'alerter en temps réel sur les problèmes de performance.
  8. Meilleures pratiques de journalisation :
    • Logback : une bibliothèque de journalisation open-source pour Java qui permet de gérer les logs avec une configuration XML.
    • Log4j2 : une autre bibliothèque de journalisation open-source pour Java qui permet également de gérer les logs avec une configuration XML.
    • Loggly : une plateforme de journalisation cloud qui permet de stocker et d'analyser les logs.
  9. Outils de surveillance et de débogage :
    • New Relic : un outil cloud de surveillance de la performance qui permet de surveiller en temps réel les microservices.
    • Dynatrace : un autre outil cloud de surveillance de la performance qui permet de surveiller en temps réel les microservices.
    • VisualVM : un outil open-source de débogage pour Java qui permet de surveiller la mémoire, les threads et les performances de l'application Java.

Ces outils ne sont que quelques exemples parmi de nombreux autres outils disponibles sur le marché. Il est important de choisir l'outil qui convient le mieux à votre entreprise en fonction de vos besoins spécifiques.

En conclusion, la mise en place d'une architecture Spring Boot et microservices peut être complexe, mais en évitant ces erreurs courantes, vous pouvez garantir un système robuste et fiable. Il est important de concevoir chaque microservice avec une responsabilité claire, d'utiliser une architecture basée sur des événements, d'éviter les appels HTTP synchrones excessifs, d'utiliser un registre de services et de tester chaque microservice de manière exhaustive avant de le déployer en production. En suivant ces bonnes pratiques, vous pourrez éviter les problèmes courants qui peuvent entraîner des défaillances et des erreurs dans le système. En outre, il est important de noter que l'architecture Spring Boot et microservices est en constante évolution et que de nouvelles bonnes pratiques peuvent être introduites à mesure que la technologie évolue.

Enfin, il est important de noter que chaque système est unique et que les décisions d'architecture doivent être prises en fonction des besoins spécifiques du système. Les erreurs mentionnées dans cet article ne sont pas exhaustives et il peut y avoir d'autres problèmes à éviter lors de la conception d'une architecture Spring Boot et microservices. Cependant, en évitant les erreurs courantes mentionnées dans cet article, vous pourrez commencer à concevoir un système robuste et évolutif.

samedi 1 avril 2023

Comment créer une signature électronique en quelques étapes simples

Créer une signature électronique

De nos jours, la signature électronique est devenue un outil incontournable pour les transactions en ligne. Que ce soit pour signer un contrat, un accord de confidentialité, ou tout autre document important, la signature électronique offre une solution rapide, efficace et sécurisée. Si vous souhaitez créer votre propre signature électronique, voici quelques étapes simples à suivre.

  1. Choisissez un service de signature électronique
  2. Il existe de nombreux services de signature électronique en ligne, tels que DocuSign, Adobe Sign, HelloSign, SignNow, etc. Chacun de ces services offre des fonctionnalités différentes, des plans tarifaires différents et des niveaux de sécurité différents. Il est important de bien comparer les différents services avant de choisir celui qui répond le mieux à vos besoins.

  3. Créez un compte
  4. Une fois que vous avez choisi un service de signature électronique, créez un compte en ligne. Vous devrez fournir vos informations personnelles, telles que votre nom, votre adresse e-mail et votre numéro de téléphone.

  5. Téléchargez le document à signer
  6. Une fois que vous avez créé un compte, vous pouvez télécharger le document que vous souhaitez signer. Vous pouvez le télécharger à partir de votre ordinateur ou à partir d'un service cloud, tel que Dropbox, Google Drive ou OneDrive.

  7. Ajoutez votre signature
  8. Une fois que vous avez téléchargé le document, vous pouvez ajouter votre signature électronique. La plupart des services de signature électronique vous permettent de créer une signature en dessinant avec votre souris ou en téléchargeant une image de votre signature. Vous pouvez également utiliser une signature électronique créée à partir de votre smartphone ou tablette.

  9. Envoyez le document signé
  10. Une fois que vous avez ajouté votre signature électronique, vous pouvez envoyer le document signé à la personne ou à l'entreprise qui en a besoin. Le service de signature électronique enverra une copie du document signé à toutes les parties impliquées dans la transaction.

En résumé, la création d'une signature électronique est un processus simple et facile qui peut être effectué en quelques minutes. En choisissant le bon service de signature électronique, vous pouvez bénéficier d'une sécurité accrue, d'une efficacité accrue et d'une rapidité accrue dans vos transactions en ligne. Alors n'hésitez plus, créez votre propre signature électronique dès aujourd'hui et facilitez votre vie professionnelle et personnelle !

Comment peut-on dire qu'une application est une architecture de microservices?


Avec l'essor des technologies modernes de développement de logiciels, l'architecture de microservices est devenue de plus en plus populaire ces dernières années. Cette approche consiste à diviser une application en petits services autonomes qui communiquent entre eux via des API. Cela permet aux développeurs de travailler sur des services individuels et de les déployer séparément, ce qui facilite la maintenance et l'évolutivité de l'application.



Mais comment peut-on dire qu'une application est une architecture de microservices ? Voici quelques éléments clés à considérer :

  1. Découpage de l'application en services autonomes : une application qui suit l'architecture de microservices doit être divisée en services indépendants et autonomes. Chaque service doit avoir son propre objectif et sa propre fonctionnalité, et doit être conçu pour être déployé et mis à l'échelle de manière indépendante.
  2. Utilisation de protocoles de communication : Les microservices communiquent entre eux via des protocoles de communication tels que HTTP/REST, gRPC, ou des protocoles spécifiques. Ces protocoles permettent aux services de communiquer entre eux de manière fiable et efficace, même lorsqu'ils sont déployés sur des machines différentes.
  3. Gestion des données : Les microservices doivent gérer leurs propres données de manière indépendante. Cela signifie que chaque service doit avoir sa propre base de données et qu'il doit être responsable de la gestion de ses propres données. Les services peuvent communiquer entre eux pour échanger des données, mais il est important que chaque service soit responsable de ses propres données.
  4. Utilisation de conteneurs : Les conteneurs sont de plus en plus utilisés pour déployer des applications basées sur l'architecture de microservices. Les conteneurs offrent une solution portable et flexible pour déployer des services individuels, ce qui facilite la mise à l'échelle et la gestion de l'application dans son ensemble.
  5. Scalabilité : L'architecture de microservices permet une mise à l'échelle granulaire des services individuels en fonction des besoins de l'application. Cela signifie que les développeurs peuvent ajouter des ressources uniquement pour les services qui nécessitent une mise à l'échelle, ce qui réduit les coûts et améliore les performances de l'application.

En conclusion, pour déterminer si une application suit l'architecture de microservices, il faut prendre en compte plusieurs éléments clés tels que la découpe en services autonomes, la communication entre les services, la gestion des données, l'utilisation de conteneurs et la mise à l'échelle. Si l'application satisfait à ces critères, elle peut être considérée comme une architecture de microservices.

Exemple de mise en place de l'architecture hexagonale dans un projet Spring Boot

Architecture hexagonale



L'architecture hexagonale, également connue sous le nom de "ports-and-adapters" ou "architecture en couches", est un style d'architecture logicielle qui vise à séparer les préoccupations de l'application en isolant le domaine de l'application du code qui s'occupe de la logique de l'infrastructure.

Le principe de base de l'architecture hexagonale est de découper l'application en couches, où chaque couche représente un niveau d'abstraction différent. Au centre de l'architecture se trouve le domaine de l'application, qui contient les règles métier et les comportements clés de l'application. Cette couche est entourée par les adaptateurs, qui sont responsables de la communication avec les autres systèmes, de la manipulation des entrées et des sorties, et de la persistance des données.

L'architecture hexagonale a de nombreux avantages, notamment la facilité de testabilité et de maintenabilité, ainsi que la réduction de la complexité du code. En isolant les différentes parties de l'application, il est possible de développer, tester et déployer chaque couche de manière indépendante. Cela permet également de réduire le couplage entre les différentes parties de l'application, ce qui rend le code plus facile à comprendre et à modifier.

En outre, l'architecture hexagonale est très flexible et peut être adaptée à une grande variété de projets et de technologies. Il est possible d'utiliser cette architecture avec des langages de programmation orientés objet ou fonctionnels, ainsi qu'avec des bases de données relationnelles ou NoSQL.

Cependant, il est important de noter que l'architecture hexagonale peut avoir des coûts initiaux plus élevés en termes de développement, car il faut mettre en place la structure de l'architecture dès le début du projet. Cela nécessite une planification minutieuse et une connaissance approfondie des différentes couches de l'architecture.

En résumé, l'architecture hexagonale est un style d'architecture logicielle qui permet de créer des applications robustes et flexibles en isolant les préoccupations de l'application. Bien qu'il puisse avoir des coûts initiaux plus élevés, les avantages en termes de testabilité, de maintenabilité et de réduction de la complexité du code en font une option intéressante pour de nombreux projets.

  1. Tout d'abord, nous créerons trois packages principaux pour les différentes couches de l'architecture :
    • com.example.demo
      • application
      • domain
      • infrastructure
  2. Ensuite, nous créons une classe d'entité dans le package de domaine pour représenter notre modèle métier :
  3. package com.example.demo.domain;
    public class User {
    private Long id;
    private String firstName;
    private String lastName;
    
    // Getters and setters
    }
  4. Nous créons une interface UserRepository dans le package infrastructure pour gérer la persistance des données :
  5. package com.example.demo.infrastructure;
    
    import com.example.demo.domain.User;
    
    public interface UserRepository {
    void save(User user);
    User findById(Long id);
    }
  6. Nous implémentons UserRepository dans une classe UserRepositoryImpl qui utilise JPA pour la persistance des données :
  7. package com.example.demo.infrastructure;
    
    import org.springframework.data.jpa.repository.JpaRepository;
    import org.springframework.stereotype.Repository;
    
    import com.example.demo.domain.User;
    
    @Repository
    public interface UserRepositoryImpl extends JpaRepository, UserRepository {
    
    @Override
    default void save(User user) {
    saveAndFlush(user);
    }
    
    @Override
    default User findById(Long id) {
    return findOne(id);
    }
    }
  8. Nous créons un service UserApplicationService dans le package application pour gérer la logique de l'application :
  9. package com.example.demo.application;
    
    import com.example.demo.domain.User;
    import com.example.demo.infrastructure.UserRepository;
    
    public class UserApplicationService {
    private final UserRepository userRepository;
    
    public UserApplicationService(UserRepository userRepository) {
    this.userRepository = userRepository;
    }
    
    public void createUser(User user) {
    userRepository.save(user);
    }
    
    public User getUser(Long id) {
    return userRepository.findById(id);
    }
    }
  10. Nous créons enfin un contrôleur UserController dans le package application pour gérer les requêtes HTTP :
  11. package com.example.demo.application;
    
    import org.springframework.http.HttpStatus;
    import org.springframework.http.ResponseEntity;
    import org.springframework.web.bind.annotation.*;
    
    import com.example.demo.domain.User;
    
    @RestController
    @RequestMapping("/users")
    public class UserController {
    private final UserApplicationService userApplicationService;
    
    public UserController(UserApplicationService userApplicationService) {
    this.userApplicationService = userApplicationService;
    }
    
    @PostMapping("/")
    public ResponseEntity createUser(@RequestBody User user) {
    userApplicationService.createUser(user);
    return ResponseEntity.status(HttpStatus.CREATED).build();
    }
    
    @GetMapping("/{id}")
    public ResponseEntity getUser(@PathVariable("id") Long id) {
    User user = userApplicationService.getUser(id);
    return ResponseEntity.ok(user);
    }
    }
  12. Pour configurer Spring pour utiliser l'architecture hexagonale, nous pouvons utiliser le design pattern d'injection de dépendances en utilisant la fonctionnalité de configuration automatique de Spring :
  13. package com.example.demo;
    
    import org.springframework.boot.SpringApplication;
    import org.springframework.boot.autoconfigure.SpringBootApplication;
    import org.springframework.context.annotation.Bean;
    
    import com.example.demo
    import com.example.demo.application.UserApplicationService;
    import com.example.demo.infrastructure.UserRepository;
    import com.example.demo.infrastructure.UserRepositoryImpl;
    
    @SpringBootApplication
    public class DemoApplication {
    public static void main(String[] args) {
    SpringApplication.run(DemoApplication.class, args);
    }
    
    @Bean
    public UserRepository userRepository() {
    return new UserRepositoryImpl();
    }
    
    @Bean
    public UserApplicationService userApplicationService(UserRepository userRepository) {
    return new UserApplicationService(userRepository);
    }
    }

En utilisant cette architecture, nous avons isolé notre modèle métier dans le package de domaine, la persistance des données dans le package infrastructure et la logique de l'application dans le package application. Nous avons également utilisé l'injection de dépendances pour relier les différentes couches entre elles.

Cette architecture permet de faciliter la maintenance et l'évolutivité du code en rendant chaque couche indépendante des autres, en minimisant les dépendances et en améliorant la testabilité grâce à la possibilité de réaliser des tests unitaires sur chaque couche de manière isolée.

En résumé, l'architecture hexagonale est un modèle de conception qui permet de mieux organiser les différentes couches d'une application en isolant le modèle métier dans le package de domaine, la persistance des données dans le package infrastructure et la logique de l'application dans le package application. Cette architecture est particulièrement utile pour les projets à long terme où la maintenance et l'évolutivité du code sont importantes.